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Affectés par des compteurs de 2e génération (Landis-Gyr, dit

« intelligents »)

« Je suis une personne sceptique au départ et lorsque j’ai entendu parler des nouveauxcompteurs intelligents comme quoi

cela pourrait être dangereux pour la santé je n’y ai pas cru. Voilà pourquoi j’ai laissé les techniciens installer les nouveaux

compteurs à la fin du mois de novembre 2011. (…) Dans le mois de décembre et pendant le temps des fêtes ma conjointe,

mon fils de 17 ans, mon père âgé de 65 ans et moi-même avons commencé à ressentir des malaises tous en même temps.

Normalement nous sommes tous en excellente santé. (…) Nous avons tous ressenti des maux de tête, des maux de cœur,

de la perte d’appétit et des étourdissements. (…) À un moment donné on s’est dit que tous nos malaises coïncidaient avec

l’installation des nouveaux compteurs. J’ai cherché à m’informer dans l’internet et j’ai trouvé pas mal de cas semblables à

ce que nous avons vécu.

J’ai appelé Hydro-Québec pour me plaindre. (…) J’ai dû attendre une semaine pour qu’on me retourne mon appel. J’ai parlé

à M. André Cloutier qui m’a dit que les compteurs étaient sans danger et que je ne devrais pas m’inquiéter avec cela. J’ai

insisté pour lui demander de venir enlever les compteurs et il n’a rien voulu savoir. Mon père a commencé à se sentir désorienté.

J’ai eu de la perte de concentration et de mémoire et surtout j’ai personnellement ressenti pour la première fois de ma vie,

à 36 ans, des palpitations cardiaques au point où j’ai passé proche d’appeler le 911 un soir parce que je pensais avoir une

crise cardiaque. (…) J’ai mis 4 couches de papier aluminium sur les 6 compteurs et au bout de trois jours nous nous sommes

tous sentis beaucoup mieux. Il y a eu un reportage à TVA sur notre cas.

Le problème c’est qu’Hydro-Québec est maintenant d’accord pour les enlever mais à condition qu’on accepte de payer 98$

au départ puis ensuite 17$ pas mois. Moi j’ai 6 compteurs dans ma cuisine. Est-ce qu’il va falloir que je paie pour les 6? (…)

Si Hydro-Québec n’accepte que les demandes individuelles, est-ce que je vais avoir le droit de faire enlever seulement le mien

et être obligé d’endurer les 5 autres? Dans ce cas la possibilité de me retirer, même à ce prix, ne me donne absolument rien!

Si Hydro-Québec impose des conditions aussi sévères pour que je puisse retrouver ma qualité de vie, je n’aurai donc pas

d’autre choix que déménager. »
Pierre Lepage, Villeray, Montréal

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« Nous nous considérons à la merci de ces appareils qui émettent constamment, de façon beaucoup plus considérable que ce qu’a déclaré Hydro-Québec. De plus, l’effet est multiplié quand plusieurs compteurs (3 dans notre sous-sol) se retrouvent à proximité les uns des autres, sans égard aux directives d’installation prescrites.

Pour couronner le tout, un “routeur”, le numéro 6, installé sur le poteau d’Hydro-Québec devant notre triplex, qui donne directement sur nos fenêtres, recueille les ondes de tous les compteurs environnants, pour les acheminer à une autre antenne. Les compteurs fonctionnent donc en réseau et cela augmente encore plus la fréquence et l’intensité des ondes électromagnétiques auxquelles nous sommes exposés.

Le routeur a été installé au début de l’automne, et depuis ce temps, les effets néfastes pour notre santé se multiplient. Arythmie, nausées, toux persistante, irritabilité, fatigue. Nous sommes profondément inquiets pour notre santé et celles de nos enfants.  et demandons l’arrêt immédiat de ces installations et le retrait des compteurs déjà installés car nous considérons que cela porte atteinte à notre intégrité physique et à notre droit le plus strict de vivre dans un environnement sain, hors d’atteinte de cette prolifération exponentielle d’ondes hors contrôle. »
Claire Maltais et Alain Bédard,
Villeray, Montréal

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« En septembre 2011, des gens mandatés par Hydro Québec ont installé 9 compteurs dits «intelligents» alignés au-dessus de l’appartement que nous louons dans le quartier Villeray à Montréal. L’installation n’est pas conforme à l’exigence du fabriquant de respecter une distance de 20 cm entre les compteurs. Ma femme est une survivante du cancer du sein et sa santé est fragile. De plus, depuis l’installation des ces compteurs nous avons des problèmes au niveau des oreilles (douleurs et acouphènes). Nous considérons que ces compteurs regroupés sont potentiellement dommageables pour notre santé à cause de leur nombre et de l’intensité de leurs émissions électromagnétiques. Nous sommes profondément inquiets. »
Résidents de Villeray, Montréal

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« J’habite un logement de l’arrondissement Villeray-St-Michel-Parc-Extension depuis plusieurs années et j’ai raison de croire, à la lumière des informations recueillies, que je suis probablement hypersensible aux ondes électromagnétiques dues au rayonnement des technologies sans fil qui encombrent notre environnement. Je souffre invariablement de troubles du sommeil, d’insomnie, de fatigue généralisée, d’acouphènes, de dépression, de douleurs aux articulations, de tremblements, d’étourdissements, de vertige, d’impatiences dans les jambes, etc. Il m’apparaît que tous ces symptômes nuisent à ma qualité de vie et à ma santé.

Contrairement à la plupart des gens, je n’ai pas de téléphone cellulaire pour les raisons invoquées et je m’interroge tout autant des causalités en rapport aux technologies sans fil. Je ne vois pas comment je pourrais vivre dans un endroit en ermite où le rayonnement des ondes ne sont aucunement accessibles. Puisque le réseau d’Hydro-Quéec possède des ramifications dans les endroits les plus reculés, je ne peux aucunement sans électricité vivre à l’écart de toute civilisation et hors de portée de champs magnétique… je me retrouverais à l’époque de mes aïeux à la fin du XVIIIe siècle. »
Un résident de Villeray, Montréal

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« Depuis toujours, je vis sans four micro-ondes, sans téléphone cellulaire, sans téléphone sans fil, sans wifi. J’ai l’internet branché au mur, j’ai la télévision que je débranche lorsque je ne m’en sers pas. Ce fût toujours mon choix. Depuis que les compteurs intelligents ont été installés dans mon immeuble le 25 janvier dernier, je n’ai plus ce choix. Et ma santé s’est détériorée: troubles du sommeil, vertiges et tremblements au réveil, acouphènes et maux de tête puissants et constants. Je n’éprouvais aucun de ces symptômes auparavant. Mes symptômes disparaissent lorsque je ne suis plus chez moi et reviennent lorsque j’y retourne. Je choisis donc de dormir le moins possible chez moi préférant dormir soit chez des amis qui n’ont pas de tel compteur et qui acceptent de m’héberger ou encore, par terre, dans une pâtisserie dont les propriétaires me laisse leur local la nuit jusqu’à l’arrivée des livreurs tôt le matin. Je me vois forcé de déménager de mon chez moi depuis 25 ans mais où irai-je pour être à l’abri si Hydro-Québec change tous les compteurs? »
Brigitte, Villeray, Montréal

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« Du WIFI partout, impossible de prendre l’autobus ou le train, d’aller dans un café, une bibliothèque, de travailler dans un bureau.  Des antennes de télécommunication installés sans aucune consultation de la population, des téléphones cellulaires à l’oreille de tout le monde autour de moi et là, des compteurs intelligent qu’on voulait forcer dans mon milieu de vie.  Avec les palpitations cardiaques, la tête chaude, les problèmes de concentration et de focus visuel, les tensions musculaires, le sentiment de nervosité et d’angoisse et les problèmes de sommeil ma vie devenait de plus en plus infernale et épuisante. Tellement d’énergie mise seulement à essayer de trouver un équilibre dans mes journées!  En juillet 2012, la goutte ayant depuis longtemps fait déborder mon vase, je m’enfuis de Montréal pour aller vivre à la campagne où enfin je retrouve ma santé et ma jeunesse… mais pour combien de temps? »
Serge-André Jones (anciennement de Villeray, maintenant à St-Cyrille de l’Islet)
Voyez le clip de sa chanson La soupe électro.

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« Dans le but d’améliorer ma qualité de vie, j’avais fait appel à un spécialiste en analysedes CEM et suivi ses recommandations; modifications sur la mise à la terre, retrait des ampoules fluorescentes, repositionnement des meubles afin de minimiser les expositions aux CEM. Il en est résulté un meilleur sommeil, une plus grande facilité de concentration et une diminution de démangeaisons cutanées. Depuis qu’Hydro-Québec a posé un compteur intelligent chez moi, j’éprouve de nouveau des crises de démangeaisons, de l’insomnie, des difficultés de concentration, des trous de mémoire et par moment je suis angoissée ou déprimée sans aucune raison.»
Sylvie, Boucherville

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« Je souffre de maux de tête chroniques depuis au moins un mois et demi et cela coincide avec l’installation de 3 compteurs dans le sous-sol de ma résidence le 16 décembre 2011 dernier. Les maux de têtes sont modérés mais plutôt constants, du matin au soir. Il m’arrive parfois de me réveiller la nuit avec la sensation d’avoir une casquette de plomb qui m’enserre le crâne. Je me suis aperçue que le pic de douleur est généralement le lundi. Je présume ici que c’est parce que je suis exposée plus longtemps le week-end que la semaine puisque je travaille à l’extérieur.

Depuis que ces compteurs ont été installés, j’ai fait un voyage de 5 jours à l’extérieur et ai constaté une légère amélioration de jour en jour mais le mal de tête n’a pas complètement disparu. J’ai consulté un généraliste qui n’a rien trouvé (m’a prescrit du Fiorinal) et un optométriste pensant que j’avais peut-être des troubles de vision qui pouvaient causer ces céphalées. Tout va bien au niveau de ma vision qui n’a pas changé depuis un an. Je constate aussi que j’ai des trous de mémoire et des troubles de concentration depuis quelques semaines et que je me sens légèrement irritable alors que tout dans ma vie va très bien. Je continue de chercher d’autres causes possibles pour m’assurer que je pointe vers la bonne direction mais j’avoue que cela commence à m’inquiéter… »
Résidente de Villeray, Montréal

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« J’ai travaillé pendant 2 ans pour une compagnie qui fabrique des compteurs intelligents. Ces derniers étaient  branchés 24h/24h dans nos bureaux. J’ai dû quitter mon emploi en raison de maux de tête sévères accompagnés d’acouphène et de fatigue. En parlant avec d’autres employées, j’ai constaté que d’autres souffraient des mêmes maux. Nous avons seulement une vie à vivre, mes enfants aussi n’ont qu’une vie à vivre et je ne veux pas qu’ils vivent avec un mal de tête quotidiennement juste parce que notre société, notre génération était trop pressée pour comprendre ce qu’elle faisait avec les technologies qu’elle découvrait. »
David Chaput, Granby

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Affectés par des compteurs de 1ère génération (Itron Centron)

« En 2005 alors que j’étais âgé de 15 ans, Hydro-Québec a changé le compteur pour un compteur numérique à la maison lors de travaux de rénovation, et ce, à notre insu. Ce même compteur se retrouvait sur le mur de ma chambre. Quelques mois plus tard, un matin, mes parents me retrouvent face contre terre dans ma chambre. À l’hôpital, on me diagnostique alors de l’épilepsie.

À partir de ce moment, mon sommeil s’est également mis à changer. En plus de la médication qui était sans succès et néfaste, d’importantes migraines prennent place. Durant 6 ans de ma vie, j’ai souffert de convulsions multiples sur un seuil d’épilepsie excessivement fragile et incontrôlable, de migraines et de dépressions. Sans parler des changements de médication qui impliquent des sevrages, d’importants effets secondaires et plusieurs hospitalisations. Avec toutes ces médications qui ne marchent pas et cette maladie qui fait des siennes, ma scolarité a chuté ainsi que ma vie sociale et les sports m’ont été interdit pour risques de blessures graves et ce durant plusieurs années. Les médecins parlaient même à ce moment d’une opération car ils n’arrivaient pas à contrôler cette maladie. Étrangement tout ça depuis l’installation du compteur numérique à la maison.

Depuis un an, je suis déménagé. Le compteur présent à ma nouvelle demeure est électromécanique. Depuis ce déménagement, ma santé a pris du mieux. Je n’ai plus de migraines, plus aucuns symptômes dépressifs et surtout, plus d’épilepsie. Les médecins ont pu retirer la médication et mon électroencéphalogramme ne démontre plus aucun foyer épileptique. Je suis guérie depuis que je me suis éloignée du phénomène électromagnétique. »
Cynthia M.-Desgagné, Lac St-Jean

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« J’ai assisté dernièrement à la conférence de mon professeur de danse Aïcha qui nous a expliqué les causes de ses problèmes de santé. Qu’elle ne fut pas ma surprise de constater que j’ai une grande partie des symptômes qu’elle a énumérés. C’est alors que j’ai commencé à me poser des questions (…) Avec stupeur, j’ai réalisé que nous avions un compteur de première génération Itron. Mes recherches ont remonté aux rénovations de notre demeure, (…) C’est alors qu’Hydro-Québec en a profité pour nous installer ce type de compteur sans demander notre avis.

Mes problèmes de santé ont commencé par un état de fatigue qui a dégénéré en fatigue chronique, suivi de maux de tête, migraines atroces, vertiges, nausées matinales jusqu’au dîner, irritabilité, anxiété, stress, dérèglements menstruels et hormonaux causant des migraines qui ont progressé en durée et en intensité de même qu’en fréquence. Et je me suis mise à avoir des problèmes de psoriasis du cuir chevelu, eczéma sur les mains, allergies à divers produits chimiques tel que parfums, produits ménagers, peintures, etc. À cela, s’est rajouté des chutes de pression artérielle, des palpitations cardiaques, de l’insomnie, des pertes de mémoire, pertes de concentration, baisse de libido et des symptômes de dépression majeure.

Pourtant je suis une personne qui prend soin de sa santé, je fais environ 10 heures d’exercices par semaine (…), ma santé continue toujours de décliner. (…) Au printemps 2011, je suis partie 2 semaines en voyage dans un environnement sain et à mon retour, je me suis retrouvée avec divers malaises qui m’ont conduit à un arrêt de travail pour plus d’un mois (…) Pendant mon congé de maladie j’ai rencontré un neurologue qui m’a fait passé un taco pour les migraines que j’éprouvais et j’ai été stupéfaite de l’entendre m’annoncer que j’avais un petit kyste au cerveau derrière l’œil droit ainsi qu’une atrophie cervicale. Il m’a fait remarqué que j’étais trop jeune pour avoir ce genre de diagnostic (…). »
Louise Martin, Québec (témoignage complet ICI)

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« Comme je suis d’entre celles qui utilisent le téléphone sans fil et le four à micro-ondes depuis plus de 23 ans, un portable depuis très longtemps et un téléphone cellulaire depuis maintenant 14 ans, la dangerosité reliée au sans fil m’était complètement imperceptible et inconnue.

Suite à l’installation d’un compteur d’Hydro-québec émettant des RF dans ma demeure 24 heures sur 24, les premiers symptômes m’ont surpris mais il m’a fallut beaucoup de temps et de problèmes de santé avant de réagir adéquatement. Je me croyais invincible et avec une capacité incroyable d’adaptation comme la majorité des gens, alors pourquoi me protéger de cette technologie? Je trouvais des raisons à chacun de mes symptômes. Les étourdissements devaient être causés par la fatigue; les oreilles devaient être bouchées à cause de la cire; plus je dormais, plus je croyais être reposée mais je devais m’étendre de plus en plus; etc. Après 10 mois, j’ai connu un moment de panique à cause de problèmes de mémoire à court terme et du fait que je m’endormais dans le bain alors que je le prenais en me levant le matin. Mais je continuais à travailler dans la salle de travail, là où est installé le compteur. Et ce, même après une visite en cardiologie à cause de symptômes préoccupants. (…)

Sceptique? Je dirais plutôt ‘inconsciente’ des répercussions à long terme. Aujourd’hui, j’aurais aimé être de ceux qui se protègent par précaution ou par conviction. (…) J’ai donc du éliminer toute les sources de sans fil dans la maison et évacuer la pièce de travail afin de récupérer. (…) Pour avoir été sceptique, je dois vivre comme une personne ‘électro-sensible’, i.e. éviter au maximum la WIFI, les antennes et tout le sans fil. (…) Je pense qu’il est responsable de s’impliquer lorsqu’on prend conscience d’un problème aussi grave. Surtout parce qu’en éliminant le sans fil, j’ai compris les raisons des crises d’épilepsie de ma fille et que j’ai pu régler son problème lorsqu’elle est à la maison. (…) Je sais que nous sommes tous sensibles aux ondes. Et je sais que tout s’aggrave plus on est exposé. (…) J’ai eu quelques rechutes intenses parce que mes locataires ne font pas attention au papier d’aluminium devant leur compteur. (…)

Et j’observe les gens, ils sont tout aussi léthargiques que moi en présence de sans fil, mais ils sont inconscients et ne veulent pas changer leur mode de vie. J’ai parlé aux enfants de la ruelle qui ont de la WIFI à l’école et ils ont des acouphènes et nous ne sommes qu’en octobre. J’ai des amis qui se plaignent de maux de tête à cause de leur cellulaire – Mais ils ne s’en débarrasseront jamais – D’autres qui ont des routeurs dans la chambre de leurs enfants – même sous leur lit – et qui, malgré mes efforts de conscientisation ne changeront rien du tout à leurs habitudes. Je ne me décourage pas, ce n’est pas mon réflexe, mais je réfléchis. (…) »
Hélène Keyser, Villeray, Montréal
(témoignage complet inclus dans le guide qu’Hélène a écrit pour aider son entourage)

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« En septembre 2011, ignorant tout des compteurs électroniques et n’ayant jamais entendu parler d’électrosensibilité, j’ai laissé un employé d’Hydro remplacer le compteur de mes voisins par un Itron Centron. J’habite au 1ier étage d’un triplex et les 3 compteurs sont dans mon entrée arrière, à 2 mètres de notre table de cuisine.

Trois mois plus tard, je tombe sur la liste des symptômes éprouvés par ceux dont l’ajout d’un compteur émetteur à leur environnement, pousse la résistance aux RF au-delà du seuil de rupture. Quelle ne fût ma surprise de trouver sur cette liste ce que j’éprouvais moi-même depuis deux mois : entre autres, de fortes et soudaines fatigues, palpitations cardiaques, troubles de concentration.

Je contrôle depuis mon environnement immédiat en gardant mon exposition au minium, mais je remarque le retour de symptômes chaque fois que je suis exposée à de l’électrosmog pendant quelques jours. J’ai extrêmement peur que ma sensibilité, encore très légère, ne dégénère en véritable électrosensibilité. Devoir quitter la ville serait aussi douloureux que les souffrances physiques causées par ce nouveau « mal moderne ». »
Julie, Petite-Patrie, Montréal

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« (…) Je dois d’abord vous dire que je suis végétarienne depuis 17 ans, que je ne fume pas, que je fais de l’exercice (22 heures par semaine) depuis l’âge de 14 ans (je suis professeur de danse). Et que, jusqu’à l’été 2010, je bénéficiais d’une santé florissante. En 2010, notre compteur Hydro Québec a été changé, à notre insu, pour un compteur digital. (…) Vers la fin de l’été 2010, une infirmière est venue chez nous pour faire une prise de sang et prendre notre pression car nous avions fait une demande de hausse d’assurance. C’est à ce moment-là que j’ai appris que je faisais de l’hypertension. (…) Ma pression avait toujours été normale.

(…) J’ai été hospitalisée d’urgence le 19 février 2012, pour anomalies cardiaques, tachycardie et palpitations, hypertension (…) LES RÉSUTATS D’UNE ÉCHOGRAPHIE CARDIAQUE ANNONCENT UNE DISTROPHIE DU CŒUR alors qu’il n’y a aucun antécédent dans ma famille.(…) Je n’ai jamais eu aucun problème avec mon cœur avant l’été 2010.

(…) En continuant la lecture de l’article {« Votre compteur « intelligent » d’Hydro-Québec vous rend-il malade? »}, j’ai réalisé que les symptômes que j’imputais à ma ménopause, à savoir: difficultés de concentration, fatigue chronique, (…) irritabilité, stress et dépression, irruptions cutanées diverses (…) perturbations auditives (…), résignation, stress intense et dépression étaient en réalité, également imputables au compteur d’Hydro-Québec. J’ai toujours été une personne pleine d’énergie, souriante et joviale. (…) Je ne suis plus la même. Je suis une épave privée d’énergie.

De plus, depuis mon hospitalisation, mon médecin a tenté de me donner des médicaments contre l’hypertension. J’ai eu des effets secondaires extraordinairement forts et déroutants. (…) Mon médecin en a été renversé et n’y comprenait rien, arguant que le dosage du médicament était très faible. C’est en lisant cet article que j’ai enfin découvert pourquoi plus rien ne me faisait. Il y était écrit : « De nombreuses personnes électrosensibles ayant développé une sensibilité allergique aux champs magnétiques de toute nature subissent également des ALLERGIES MULTIPLES AUX PRODUITS CHIMIQUES. C’EST LÀ UN EFFET SECONDAIRE SOUVENT OBSERVÉ DE L’ÉLECTROSENSIBILITÉ. » J’avais sous les yeux les raisons de mon étrange réaction aux médicaments.

(…) j’ai enveloppé mon compteur avec du papier aluminium. En deux jours, mes mains ont presque retrouvé une apparence normale. Mes maux de tête ont disparu et, tenez-vous bien, ma pression redescend. Je suis maintenant convaincue que tous mes problèmes de santé résultent de l’installation de ce compteur.

Maintenant, je tiens un journal de l’apparition ou de la disparition d’un symptôme. Je suis en observation… et je me tiens prête à affronter la sacro-sainte Hydro-Québec!  C’est en nous unissant que nous pourrons vaincre le géant. »
Dominique Brillon, Québec (témoignage complet ICI)
Voyez sa Lettre ouverte à tous les médecins, infirmiers et infirmières du Québec

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« Je demeure depuis bientôt 3 ans à mon domicile actuel. Vers la fin de l’été dernier, j’ai remarqué que le dernier des cèdres de la rangée que j’avais planté, soit celui situé tout près des compteurs de mon condo, avait commencé à mourrir lentement. Je n’y avais pas porté vraiment attention jusqu’à ce que je sois incapable de dormir une nuit entière. Mon insomnie s’est ensuite aggravée de plus en plus, je me suis mise à avoir des cillements dans mes oreilles et à éprouver des maux de tête une journée sur 2, etc. Je ne me sentais tout simplement pas bien. Je suis allée voir un ORL et après de nombreux examens, il a été établi que je souffrais d’acouphènes. J’ai alors commencé à m’intéresser aux compteurs-émetteurs de radiofréquences et à leur apparence. À ma grande surprise, j’ai découvert qu’il y en avait, non pas 1 mais 3 de ces compteurs (Itron) sur le mur de mon condo! Je n’ai JAMAIS été informée de ce fait!! J’ai passé plusieurs soirées d’été assise à moins de 5 pieds d’eux ne sachant pas les dommages que cela produisait à l’intérieur de moi!! Si ces compteurs étaient sécuritaires, mon cèdre ne serait pas en train de mourrir, je n’éprouverais pas d’intenses maux de tête, de l’insomnie et des acouphènes. Ces compteurs ont un effet cumulatif, cela a pris un peu plus de 2 ans pour que les symptômes débutent. Il n’y a aucun remède pour des acouphènes, je devrai maintenant vivre avec ces derniers pour le restant de ma vie. Merci Hydro-Québec. »
Une résidente de Laval

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« J’ai dû vendre ma maison car on y avait installé sans m’en aviser un compteur Itron et je suis devenue très malade par la suite : maux de tête et polymyalgies que seuls les corticoïdes arrivent à soulager. À ma résidence actuelle, sous le compteur d’Hydro, j’ai installé une affiche interdisant l’installation d’un compteur sans fil sans ma permission et je distribue ces affiches à ceux de mon entourage qui sont intéressés. J’aborde le sujet avec toutes les personnes que je rencontre afin qu’elles soient à tout le moins au courant. »
Résidente de Lac à la Tortue

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Personnes déjà électrosensibles pour qui l’arrivée des compteurs émetteurs
de radiofréquences (de 1ière et de 2ième génération) est un cauchemar

« C’est à l’automne 2005 que mes symptômes d’électro-sensibilité se sont manifestés pour la première fois. J’avais remarqué que lorsque j’utilisais le four à micro-ondes ou un cellulaire, j’éprouvais des maux de tête, une pression douloureuse dans mes yeux, une faiblesse au niveau de mes jambes et une baisse importante de mon énergie.

À l’hiver 2006, mes symptômes s’aggravèrent à un point tel que je dus m’isoler, le plus possible, de toute charge électromagnétique. Ma mère et moi durent aménager seules dans un logement où nous fermions les circuits électriques la majorité du temps.  Une glacière sur le balcon remplaçait le frigidaire, la cuisinière était utilisée qu’au strict minimum. Quant à l’éclairage et au chauffage, nous en étions réduites aux chandelles et sacs de couchage pour la plupart du temps. (…) Ces mesures étaient devenues incontournables puisque la moindre émission électromagnétique suffisait à déclencher mes symptômes. (…)

Je souffrais de douloureux chocs électriques dans ma tête et de convulsions, mes yeux s’engorgeaient de sang dû à l’éclatement de leurs vaisseaux sanguins, et j’étais constamment terrassée de paralysie soudaine de mes jambes, qui pouvait durer quelques heures, à la suite desquelles, j’en étais réduite à ramper pour me rendre à la salle de bain.(…) Il s’agissait d’une véritable descente en enfer; moi qui, auparavant, étais physiothérapeute et professeure de tennis.

Grâce à de multiples démarches de tout genre, entreprises au Québec et ailleurs, à mon réel acharnement et à l’appui de mon entourage, plus particulièrement ma mère, je commençai à prendre du mieux. (…) Mon rétablissement s’échelonna sur quelques années entrecoupé de rechutes difficiles.

Aujourd’hui, le fait de pouvoir revenir, après une journée de travail, dans un environnement sain, c’est-à-dire où la charge électromagnétique est basse, permet à mon corps de récupérer et de demeurer productive. Je suis fière d’exercer mon métier de physiothérapeute à nouveau et de contribuer à l’économie. Ce qui m’est arrivé peut arriver à tous et chacun. Je suis malheureusement l’une des rares personnes à m’être rétablie aussi bien. Je vous demande de nous protéger tous. »
Véronique Riopel, Laval(témoignage complet et autres ICI)
Voyez Véronique à l’émission de Denis Lévesque (1ière partie, 2ième partie)

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« Suite à la décision de la Régie de permettre a Hydro de poursuivre son projet d’implantation des compteurs intelligents, je suis comme plusieurs, très fâchée, troublée et très inquiète pour nous tous et nos enfants… Je suis électrosensible sévère reconnue et diagnostiquée depuis 2006. Très isolée je suis installée dans une région éloignée depuis plusieurs années pour me réfugier, améliorer ma santé…

Cela a fonctionné. Je vais beaucoup mieux mais j’ai tout perdu, ma famille, ma maison, mon travail et je me meurs a présent d’ennui, d’isolement. Mon fils m’a dit que je serai grand-mère au printemps. Quelle joie!!! Mais serai-je plus proche, disponible???, En santé???… Voilà, ce a quoi entre autres plusieurs sont obligés de faire ou songent a  faire, abandonner leur vie et ceux qu’ils aiment, chercher un refuge pour rester vivants.

La pollution électromagnétique est déjà très envahissante et nuisible, même inquiétante (wi-fi, cellulaire, Iphone, Ipad… ), avec les compteurs émetteurs de radiofréquences ce sera, je crois, désastreux et fatal pour de plus en plus de gens et à un rythme très rapide.»
Gaétane Boucher
Entrevue à la Radio de Québec FM93

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« Je suis technicien en télécommunication d’affaire et informatique résidentielle depuis une dizaine d’années. (…) Depuis le début de 2006, j’ai commencé à souffrir de maux d’oreilles, de maux de tête, d’acouphènes, de vertiges, d’insomnie, de perte de concentration, de fatigue, de diminution de la vision, de saignements de nez, d’éclatement de vaisseaux sanguin dans les yeux, etc. (…) Plus tard, je me suis rendu compte que ces symptômes se produisaient seulement (et je dis bien seulement) lorsque je suis à proximité d’équipements de communication sans-fil.

Pour en être bien certain, mon épouse (infirmière clinicienne) et moi, ainsi que des amis, avons fait des tests (expositions à mon insu à des micro-ondes et identification de sensations variées selon le type d’équipement auquel j’étais exposé) pour en avoir le cœur net avant d’en parler à des membres du corps médical. Ceux-ci sont pour la plupart totalement ignorant de l’existence du syndrome d’intolérance aux champs magnétiques et ne peuvent donc m’aider, et rien au Canada n’existe pour traiter ce genre de problème avec le sérieux et l’attention qu’il exige. Cela va jusqu’à la négation complète du problème de la part de Santé Canada et des sociétés de télécommunications. (…)

En mai 2009 pour ces raisons, j’ai dû quitter mon emploi en télécommunication d’affaire. (…) Je ne peux supporter d’être près d’un IPhone, d’un Black Berry ou d’un téléphone intelligent utilisant la technologie 3G plus de quelques secondes avant de commencer à ressentir des engourdissements au visage et quelques minutes avant d’éprouver des douleurs crâniennes, des sensations de brûlure et des pincements dans les oreilles, ainsi que de puissants acouphènes. À l’inverse, quand je suis loin de tout équipement sans-fil, la santé revient vite, les acouphènes diminuent considérablement, je n’ai pas de maux de tête et pas de vertige, j’ai un bon sommeil, une amélioration de la mémoire, etc.

(…) Des milliers de gens se plaignent des douleurs causées par des équipements sans-fil, et cela dans tous les pays utilisant ces technologies. Les gens se plaignent des mêmes maux alors qu’ils ne se connaissent même pas et n’ont jamais été en contact ensemble auparavant. J’ai également rencontré plusieurs personnes souffrant de ces mêmes maux ici au Canada, plus précisément au Québec dans les régions montréalaise et laurentienne. (…)

Les compteurs d’électricité dits ‘intelligents’ qu’Hydro-Québec veut installer partout en remplacement des compteurs électromécaniques fiables et sans danger. Même chose pour les compteurs Itron pour la relève à distance qui émettent aussi constamment des micro-ondes néfastes. Les compteurs d’eau et de gaz naturel sont aussi en voie d’être équipés d’émetteur micro-ondes. Avoir un compteur électropolluant sur ma maison équivaudrait à un arrêt de mort pour moi et pour toutes les gens souffrant d’électrohypersensibilité (EHS). (…)

Depuis que j’ai compris la cause de mes problèmes de santé, j’ai essayé de me trouver un emploi où je serais à l’abri de ces technologies, mais en vain, et j’ai donc décidé de faire ce que je connais le mieux, soit la télécommunication et l’informatique résidentielle. En septembre 2010, j’ai donc fondé Vert-techno.com. Je choisis ainsi mes clients et les clients qui me choisissent sont désireux d’assainir leur environnement électromagnétique. Je fais le même travail, mais de manière à réduire l’exposition des gens aux champs électromagnétiques, ou micro-ondes, en éliminant les gadgets sans-fil et en installant différents câblages le moins visibles possible. »
José Levesque, St-Colomban (témoignage complet ICI)
Voyez José à l’Émission JE « Les compteurs intelligents d’Hydro-Québec »

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« Mon nom est Kathya Heppell. Je suis électrohypersensible (EHS) et ma vie a été bouleversée de bout en bout par cette maladie contemporaine encore bien mal connue et encore moins comprise. Au début et pendant plusieurs années, je souffrais en silence, car si j’avais le malheur de décrire à un médecin les troubles que je ressentais, je me faisais invariablement prescrire des pilules contre l’anxiété et des somnifères—dans la mesure où j’étais en parfaite santé physique, il fallait que mon problème soit mental.

Quand j’ai commencé à avoir des palpitations cardiaques, en 2006, et qu’aucun médecin n’arrivait à en trouver la raison ou à poser un diagnostic conventionnel, en plus des acouphènes, des insomnies, des troubles de la digestion et des nausées quotidiennes que je subissais, des idées suicidaires ont commencé à me hanter.

C’est en lisant un article d’André Fauteux sur l’électrosensiblité, dans la revue La Maison du 21e siècle, que j’ai commencé à comprendre ce qui m’arrivait et à faire des recherches plus approfondies sur cette maladie nouvelle et mystérieuse. (…) Par la suite, et c’est là que j’ai dû concevoir et accepter la désolante réalité physique de mes symptômes et écarter l’hypothèse d’une origine psychosomatique, comme beaucoup de gens persistent à le croire, parce que sans que je le sache mais systématiquement, quand j’étais exposée à mon insu et que je recommençais à avoir des palpitations cardiaques et à ressentir les affres de constantes nausées, je finissais toujours par découvrir que je côtoyais une technologie sans fil.

Depuis cette triste découverte, j’ai quitté la ville de Montréal, où je travaillais et vivais une existence bien remplie, tant par mes activités professionnelles (…) qu’extra-professionnelles (…) J’ai fait le deuil de ma vie trépidante et de mon vaste réseau d’amis et de connaissances pour venir me réfugier à Sutton. (…) Tout reste à faire, car la pollution électromagnétique et l’électrosensiblité ne sont toujours pas reconnues par Santé Canada, dont le code de sécurité 6 est complètement désuet, et encore moins par Industrie Canada, qui supervise le déploiement des antennes-relais et des technologies sans fil, et Hydro-Québec, qui s’apprête à installer une multitude de compteurs « intelligents » sur le territoire québécois.

Combien de vies seront détruites encore avant que nos politiciens, nos chercheurs, nos médecins et nos pairs, les utilisateurs de ces technologies, commencent à s’inquiéter de cette nouvelle pollution qu’est l’électrosmog et de ses dangers? Des centaines, des milliers, des millions… et la mienne? »
Kathya Heppell, Sutton (témoignage complet ICI)
Voyez l’entrevue de Kathya à l’émission de Mongrain

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« Je souffre d’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques depuis plusieurs années. Pour ceux qui ne le savent pas, c’est un problème relié à la pollution d’ondes à basses et hautes fréquences dangereuses qui perturbent tout organisme vivant. J’ai différentes douleurs et symptômes lorsque je suis en présence de ces ondes nocives électriques à basses fréquences (ordinateur, imprimante, télévision, Hi-Fi, électroménager, sèche-cheveux, lampe, radio-réveil, ligne à haute-tension, câblage électrique, rallonge électrique, fluorescent…) et aussi aux ondes nocives à hautes fréquences (cellulaire, téléphone sans fil, four micro-ondes, ordinateur sans fil, courant porteurs en ligne (CPL), WI-FI, WI-MAX, BLUETOOTH, console de jeux électroniques sans fil (Nintendo, PlayStation, Xbox…), walkie-talkie, écoute-bébé, antenne-relais des cellulaires et du WI-FI/Internet sans fil, radiodiffusion par satellite (TV), antenne parabolique, radio AM/FM, GPS, radar, caméra de surveillance, ampoule fluo-compacte…) Et maintenant les compteurs D’Hydro-Québec de lecture à distance !

Voici la liste de mes symptômes et douleurs en présence de ces ondes nocives: acouphène, maux de tête, serrement de chaque côté de la tête, sensation de fourmis qui marchent sur la tête, sensation de brûlures sur le bout des oreilles et au visage, saign font-size: 1.2em;ement de nez, crispation de la mâchoire, serrement de la cage thoracique, difficultés respiratoires, palpitations cardiaques, fatigue extrême, bras et jambes lourdes, douleurs dans le cou et dans le dos, tremblements internes, nervosité extrême, anxiété, dépression, difficulté de concentration et incapacité de bien réfléchir. »
Chantal Blais, Magog
Voyez Chantal au Téléjournal d’Estrie

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On entend parfois parler de champs électromagnétiques. Difficile de se faire une idée de ce que c’est; ça ne se voit pas, ça n’a pas d’odeur, ça ne s’entend pas et ça n’a pas de goût. Alors aucun de nos sens ne peut nous aider tant que nous sommes inconscients de ce qui se passe.

Voici une histoire vraie, c’est mon histoire. En avril 2006, j’emménage avec mon amoureux après 2 ans de fréquentations. Tout va pour le mieux. Ma fille est heureuse de ce dénouement, j’adore le travail que je fais, (je suis électricienne) je travaille avec des hommes très gentils. Toutes les sphères de ma vie vont bien. Je suis comblée par la vie.

L’automne arrive. Je commence à être fatiguée. Je ne me sens pas bien. L’hiver arrive. Rien ne s’améliore. C’est de pire en pire. Je dors mal, j’ai envie de pleurer et je ne sais pas pourquoi. Je suis de plus en plus fatiguée parce que je n’arrive pas à dormir d’un sommeil réparateur. Pourtant rien n’a changé dans ma vie. J’ai tout pour être heureuse. Je ne vis aucun problème. Rien de stressant dans ma vie. Je ne comprends pas. Je me sens dépressive,  j’ai envie que ma vie s’arrête là, maintenant. Je sais que je ne suis pas en dépression ou en burn-out. J’ai de la difficulté à me concentrer. Ça ne va vraiment pas bien dans mon corps, dans mon esprit.

Un jour mon patron me parle d’un cours sur les champs électromagnétiques. Un cours intensif durant une fin de semaine complète. Je lui dis oui, je suis partante. Je suis le cours, j’achète des appareils et je m’amuse à prendre des mesures chez moi.  Je découvre que je dors dans un champ électromagnétique de 10 milligauss. Je

découvre que ce sont les câbles chauffants au toit qui dégagent ce champ électromagnétique.

On ne peut pas enlever les câbles chauffants au toit alors le soir en allant me coucher je les ferme et le matin je les rallume. Depuis je me sens bien de nouveau. La différence marquante dans ma vie c’est qu’aujourd’hui je n’ai pas besoin d’appareils pour détecter les tours de téléphones cellulaires. Je le sais quand je passe près. J’ai de la difficulté à respirer, je sens du stress à l’intérieur de moi et c’est presque instantané. Dès que j’ai passé la zone, je me sens mieux.  Lorsque je vais chez des gens qui ont du Wi-Fi à la maison, je ne peux pas rester trop longtemps parce que je me retrouve avec un mal de tête atroce.  Pourtant, avant je n’avais jamais mal à la tête.

Alors soyez à l’écoute et vous découvrirez que votre corps va vous le faire savoir quand vous êtes dans une zone nocive. J’espère que mon témoignage va aider certaines personnes à comprendre pourquoi elles se sentent mal, ce mal de vivre.
Pascale, Prévost

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Je suis devenu subitement électro-sensible il y a 4 ans de cela. Étant maintenant dans la jeune trentaine, ma condition s’est améliorée, mais fut excessivement pénible durant de nombreuses années. Je n’oublierai jamais la souffrance dans laquelle j’ai été plongé durant longtemps.

En effet, au pire de ma condition, j’ai passé plusieurs mois à vivre une énorme détresse puisque je réagissais à toute source de pollution électromagnétique comme les lignes électriques, les téléviseurs, ordinateurs, système WI-FI, cellulaires, les néons au plafond dans les marchés d’alimentation, les caisses enregistreuses, les tableaux de bord des automobiles, le filage dans les murs, etc. Mes symptômes étaient neurologiques, et si intenses qu’il m’était pratiquement impossible d’approcher un ordinateur ou une télévision. Je ne pouvais pratiquement plus entrer dans les restaurants ou les bars puisque la technologie des téléviseurs à écrans plats y était omniprésente.

Encore aujourd’hui, bien que je ne sois plus à ce niveau de sensibilité, il m’est quand même nécessaire lors d’appels téléphoniques de porter un appareil spécialement conçu afin de minimiser les ondes émanant du téléphone.

Ayant pu constater que la pollution électromagnétique des systèmes WI-FI étant l’une des pires qui soient, je ne peux concevoir que des enfants et des personnes de tout autre âge y soient exposées en permanence.
Christian, Rive-Sud de Montréal

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Cas aux États-Unis

« J’ai été hospitalié pour la nuit à l’urgence 3 fois cette semaine avec des malaises inexpliqués. J’ai passé plusieurs tests dont un scan du cerveau, électrocardiogramme, prise de sang et autre et aucune réponse définitive m’est encore donnée. Un compteur intelligent a récemment été installé chez moi et mes symptômes ont débuté environ 1 semaine après cette installation: stress extrême, ischimies cérébrales transitoires diagnostiquées, étourdissements, maux de tête, nausées et pertes de connaissance. J’ai mentionné ceci au médecin et il a suggérer que le compteur intelligent pouvait en être la cause car récemment à l’urgence de l’hôpital le nombre de personnes éprouvant des symptômes similaires a augmenté de façon importante depuis que les compteurs intelligents ont été posé dans la région. »
J. W., Anon (Californie)

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« Depuis la pose des compteurs intelligents, des nodules sont soudainement apparus sur ma glande thyroïde et je souffre maintenant d’épisodes de vertiges, de petites crises d’épilepsie et de difficulté de déglutition.  Je n’ai jamais expérimenté quelque chose du genre avant et j’en suis bouleversé.  J’ai toujours été en bonne santé.  Aidez-moi à sauver ma vie. »
L.M., Pacifica (Californie)

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« J’ai commencé à éprouver des effets sévères sur ma santé moins de 5 heures suivant l’installation de 4 compteurs intelligents sur mon petit bloc appartements le 28 juillet 2011.  Mes symptômes de maux de tête, nausées, insomnie, sentiments d’agitation et d’irritabilité ainsi que des difficultés de concentration m’ont forcé à quitter mon domicile.  Mes symptômes disparaissent après environ 30 minutes dans un quartier sans compteurs intelligents.  Je vis dans mon auto depuis le 2 août 2011; passant mes soirées chez des gens qui sont en mesure de m’accueillir pour la nuit.  Ma vie a été subitement bouleversée.  Je ne connaissais rien des compteurs intelligents avant le début de mes symptômes, mais je peux vous affirmer maintenant sans l’ombre d’un doute que les effets nocifs sont réels.  Cinq résidents dans mon bloc d’appartements (sur un total de 6 résidents qui y vivent en permanence) m’ont rapporté éprouver des symptômes similaires. »
Sylvia Garner, Burbank (Californie)

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« Le réseau maillé a complètement détruit mon plan [de vie] d’acheter une maison avec panneaux solaires et voiture électrique. Maintenant, j’ai toute la misère du monde à survivre et payer mes comptes. Je ne suis pas heureuse ici [National Radio Quiet Zone]. Je veux être en Californie, mais je ne peux pas à cause du réseau maillé. »
Deborah Cooney (Virginie)
Elle poursuit en justice la compagnie SDG&E. Voir l’article complet ICI.

 

Vous trouverez ICI d’autres témoignages des États-Unis

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NB. Les personnes qui choisissent de couvrir leurs compteurs d’aluminium le font de leur propre chef.
Nous ne recommandons nullement cette pratique qui peut potentiellement empirer la situation.

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